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L’Arnaque Epstein : Ce que Trump tente de cacher – Révélations, manipulations et silence gênant

Bonsoir à toutes et à tous,

Aujourd’hui, je vous parle d’une affaire qui refait surface avec fracas, une affaire qui mêle pouvoir, sexe, manipulation médiatique et noms très, très haut placés. Je vous parle de l’affaire Epstein… ou plutôt, de ce que Donald Trump appelle aujourd’hui : « l’arnaque Epstein ».

Mercredi dernier, sur son propre réseau social, Truth Social, l’ancien président Donald Trump s’est lancé dans une violente attaque contre le Parti démocrate, accusant ses adversaires de relancer l’affaire Epstein pour détourner l’attention. Il les accuse d’inventer des scandales, tout comme ils l’auraient fait avec le fameux « dossier Steele », l’ordinateur de Hunter Biden, et la prétendue collusion avec la Russie. Pour Trump, tout cela n’est qu’une suite de mensonges orchestrés par une gauche qu’il qualifie de « déjantée » et de « radicale ».

Mais au fond… pourquoi revient-il maintenant sur cette affaire ? Pourquoi s’en prendre à ses anciens partisans qui croient à l’affaire Epstein ? Et surtout, pourquoi ce ton aussi défensif ?

Souvenons-nous : dès son entrée en fonction, Trump avait promis de déclassifier les dossiers liés à Jeffrey Epstein, ce milliardaire condamné pour trafic sexuel de mineures, et mort dans sa cellule en 2019 dans des conditions plus que troubles. Mais malgré cette promesse, aucune liste de clients n’a été publiée, aucun nom n’a fuité officiellement, et la vérité reste étouffée sous des couches de confusion, de versions contradictoires et de silences suspects.

Pire encore, la procureure générale Pam Bondi affirmait en février dernier qu’elle avait bien reçu cette fameuse liste de clients puissants sur son bureau, en attente d’examen. Et pourtant, quelques semaines plus tard, le ministère de la Justice et le FBI affirment officiellement que cette liste n’existe pas.

Et c’est là que le malaise commence. Car les autorités ont également publié une vidéo censée prouver le suicide d’Epstein dans sa cellule… une vidéo étrange, où l’on constate un saut de 62 secondes entre 23h58 et minuit pile. Une coupure, un vide. Comme par hasard.

Mais alors, qui protège-t-on vraiment ? Pourquoi cette incohérence entre les services officiels ? Et surtout, pourquoi Trump lui-même semble vouloir désamorcer cette affaire au lieu d’en exiger la transparence ?

Samedi dernier, dans un autre message incendiaire, Trump va encore plus loin : il accuse directement Barack Obama, Hillary Clinton, James Comey, John Brennan et même certains membres de l’administration Biden d’avoir fabriqué des documents liés à Epstein, insinuant que cette affaire est une nouvelle machination destinée à le discréditer et à affaiblir le camp républicain.

Mais ce qui choque le plus dans son message, c’est cette phrase :

« Mes anciens partisans ont gobé cette connerie, hameçon, ligne et plomb. Ils n’ont pas retenu la leçon et ne la comprendront probablement jamais. »

Autrement dit : Trump rejette ceux qui, dans son propre camp, commencent à poser les bonnes questions. Ceux qui réclament la vérité sur Epstein. Ceux qui osent penser que, peut-être, cette affaire dépasse les clivages habituels entre gauche et droite. Ceux qui soupçonnent, à juste titre, que l’omerta autour de Jeffrey Epstein est le produit d’un système corrompu… dont font partie des élites des deux bords.

Parce que c’est là le cœur du problème. Et si l’affaire Epstein, ce n’était pas juste un scandale sexuel, mais la clé d’un réseau tentaculaire de pouvoir, de chantage, et de silence ?

Et si, pour une fois, républicains et démocrates étaient unis… non pas par idéologie, mais par la peur ?

Peur que la vérité éclate.

Peur que la liste sorte.

Peur que les noms révélés ne soient ni rouges ni bleus, mais puissants. Intouchables.

Alors Trump préfère détourner l’attention. Accuser. Délégitimer. Insulter même ses anciens soutiens. Parce que la dernière chose qu’il veut, c’est que cette affaire soit prise au sérieux.

Mais nous, on ne détournera pas les yeux.

Car trop de jeunes filles ont été détruites dans ce réseau. Trop de victimes attendent justice. Trop de preuves sont ignorées.

L’affaire Epstein n’est pas une « arnaque ».

C’est une bombe à retardement.

Et si on ne continue pas à poser les bonnes questions, ce sont encore une fois les puissants qui s’en sortiront… pendant que la vérité mourra une seconde fois.

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